A l’image des mets les plus fins et remarquables, 1655 répond à des critères précis quant à l’art de sa dégustation. Pour une dégustation à la main, 1655 révèle toutes les tonalités de sa saveur après un repos d’une vingtaine de minutes à température ambiante.
Savourer un 1655, c’est avant tout une expérience culinaire nouvelle, où des mariages gourmands promettent d’éveiller tous vos sens.
Une union audacieuse et explosive qui amène son lot de réjouissances gustatives. Le 1655 s’accordera à la perfection avec la délicatesse d’un vin pétillant ou d’un vin blanc, en raison de sa minéralité aérienne et son acidité affirmée. Avec ses arômes fins et fruités de pomme, d’agrume, d’ananas ou de raisin, le vin blanc sec est un allié de choix pour le 1655. Pour une légèreté des sens, dégustez le fromage avec un vin doux de vendanges tardives. Si, en prime, vous avez l’opportunité d’accompagner votre 1655 d’un vin régional suisse, vous aurez en bouche un bouquet de senteurs inouïes.
Que les amateurs de vin rouge se rassurent ! Le 1655 se plaît également en compagnie de tannins plutôt soyeux et fruités.
Pour obtenir un contraste tout aussi succulent que surprenant, ajoutez un soupçon de confiture de mûre ou de framboise sur une lèche de 1655. En carpaccio, agrémenté d’une tombée d’huile d’olive, ce Gruyère laisse également transparaître toute sa finesse en fondant délicatement en bouche.
Nul doute que vous trouverez par vous-même d’autres associations qui raviront votre palais.